ad absurdum (2024)

Grâce à l’intelligence artificielle, ad absurdum génère des variations sur votre portrait. Elle souligne le caractère construit et artificiel de l’image synthétisée par l’apprentissage profond. Ce faisant, elle invoque l’uncanny valley (vallée dérangeante), un sentiment de malaise qui surgit lorsque nous sommes confrontés à des représentations humaines qui diffèrent de la réalité. Ses messages alarmistes font état des inquiétudes légitimes suscitées par ces technologies, poussées à l’absurde.

En collaboration avec Georges Rafie.